il se dit et s'écrit des choses qui, 1

y à cinq ans, auraient fait traiter de rèéveuis et de visionnaires ceux qui les auraient dites ou écrites C'est donc que l'on commence à compren- dre que la valeur définitive de la société ne se-calcule pas uniquement en piastres.

11 y a longtemps que l'Eglise a | jeté le cri d'alarme à l'endrait de,

l'assainissement des idées. Un politi- cien qui aurait, il y a quelques an- nées, parlé de se résigner à son sort er de s armer de courage aurait pro- bablement' provoqué une hilarité gé- nircle et le ridicule l'aurait tué. En cette année 19944, on a vu un homme se lever pour précuer l'évangile de la sol'darité humaine, en plein parle- ment, et on l'a écouté avec atiention et même respect.

La grande base de toute société, c'est la famille, et c'est de la pra- que des vertus familidles que naît le patriotisme dont découlent néces- sairement l'amour et le respect . du prochain. Eh étant de bons patriotes, pon Nip nous observous nos devoirs en le passé, mais nous faisons oeuvre de bons citoyens et de bons chrétiens, car le patriotisme est un idéal et en cultivant un idéal, nous élaignons les soucis purement matériels et les occasions d'envie et de rañcune, ces deux filles de l'or- gueil qui sont la cause de tant de souffrances pour les peuples et les

Mes chers amis, soyons donc pa- triotes et servons une cause qui, en nous éloignant du terre-à-terre, nous réformers. Il est certain et nous l'admettons tous, que le monde a be- soin de réformes; mais l'erreur, c'est de croire que les gouvernants puis- sent les faire sans que les individus changeñt. Autant vaudrait prétendre pouvoir orgeniser des bandits de grand chemin en société philanthro- pique.

Accomplissons notre devoir d'état

M. Louis-Philippe Gagnon | M. Louis-Philippe Gagnon félicite le président et l'exécutif de la Bocté-

mieux que d'autres races À nous as- similer les problèmes, mais à la con- dition de travailler. I1 faut avoir le culte de la compétence dans tous les domaines, c'est cela seul qui nous sauvera et nous devons tout faire | pour l'obtenir. Comme le disait ré- |“emment S. E. Mgr. Yelle, “les cir- «snstances actuelles noug forcent à ne pas être des médiocrités.”

En terminant, l'orateur insiste d'u- ne manière spéciale sur l'importance d'améliorer notre langue. C'est l'un de nos plus beaux apanages et nous ne ferons jamais trop pour én favori- ser l'épanouissement. Pourquoi ne Pärlerions-rus pas le français, dans la vie courante, comme nous l'écri- vons? Ce que nous reproche la popu- lation anglophone, ce n'est pas tant de mal parier l'anglais que de mal parler notre‘ propre langue. Si le français ne devait pas être mieux respecté dans vingt-cinq ans qu'il l'est aujourd'hui dans la bouche de quelques-uns d'entre nous, ce serait à se demander s'il vaut la peine de s'imposer tant d'efforts et de sacri- fices pour le conserver. Nous avons une langue claire, élégante, la plus belle qui soit: elle exige d'être parlée avec netteté et précision.

R. P. Desjardins, S.3.

“Voici un substantiel résumé du dis- cours du KR. P. Desjardins:

L'exécutif de la Saint-Jean-Bap- tiste a suivi une tradition en invitant comme ôraleurs conjoints de cette assemblée un laique et un prêtre. Notre célébration "nationale a tou- jours revêtu le double caractère de fête civile et de fête religieuse, parce que pour nous, Canadiens français, Religion et Patrie, c'est tout un. Le prêtre canadien-français a deux aspi- rations: voir Dieu conûu et aimé dans la patrie, voir la patrie heureu- se et prospère sous l'égide de son Dieu. Le citoyen canadien-français, lui aussi,—le vrai, l'authentique, ca- nadien-français, porte dans son coeur deux grands amours, l'amour de la Patrie, l'amour de la, Religion. Chez nous, plus on est prêtre, plus on est patriote; et, de même, pius on est patriote, plus on est croyant. Mgr Bourget disait: “Le religieux

de chape jee, mais pratiquens ne patriotisme étant un bien de famille

il

2eme AE {

HE

H

Munro a écrit à gloire des niers de 1n pt prêtres et laïques.

Uho.pentes 0. sobquite rdigiouss donne naissance à la colonie. Les rois de FraL”e, leurs ministres, leurs fon- dés de pouvoir au Canada,—ies -«u- ments officiels en font foi,-—-mettent

belle gloire. Car d'autrès races ont fourni au Nouveau-Monde de mer- veilleux explorateurs, défritheurs, soldats, etc. Mais notre mérite exclu- sif, C'est que nous avons été des planteurs de croix. Nous allons com- mémorer le 4e centenaire de la dé- couverte du Canada phr. Jacques Cartier. I! prit possession du 501 en plantant la croix du_Christ sur la pointe de Gaspé. C'est un acte de foi qui ut le point de départ de toute us? série de gestes semblables ac- compiis par nos explorateurs, nos missionnaires. fait remarquer: nous avons marqué tout ce continent du symbole de no- tre croyance. Descendants des fon-

nous gardons à nos ancètres une in- signe gratitude. Possesseurs d'un hé- ritage de foi, nous garderons indisso- lublement unis l'amour de la Religion et l'amour de la Patrie.

L'Eghse, en retour de l'honneur que nous lui avons acquis, nous a rendu de signalés services. Durant surtout cette période de transition tragique tout un peuple catholi- que et français passa brusquement sous la domination d'une puissance étrangère et, à cette époque, fanati- quement anti-romaine, une seule for- ce sociale nous resta au milieu de nos ruines, l'Eglise, le clergé cathoiïique, la paroisse catholique. C'est elle, mieux que le traité de Paris, qui nous a conservé notre langue, nos libertés civiles, et nous a permis d'opposer à toites les. machinations du protes- ltantisme, religion du vainqueur, une résistance que rien n'a pu fléchir. Quand nos pères n'avaient plus de

“drapeau autour duquel se railier, ni

tournèrent vers l'église et le pres- bytère du village. De leur vint le salut. Le ‘miracle canadien”, étonnante survivance, nous le devons à notre clergé patriote, à l'Eglise. | Nous lui devons par-dessus tout :e | maintien de cet idéal catholique et |

que entièrement voué au Culte idola- | trique des biens de la terre, fait au- jourd'hui de notre race le plus solide rempart de la civilisation chrétienne | en ce pays, et, demain peut-être, si

elle reste fidèle sa vocation, une

: Congrès général de T'Association d Education!

GRAND BANQUET' DU GENTENAIRE DE LA. ST-JEAN:BAPTIST E; ME

dateurs d'une civilisation chrétienne, |

de chefs civils pour les conduire, ils | les-Edouard Gagné. archidiacre

Jeanne Chavanne, Académie Saint-Joseph

tre

—"# 1e Chabnbre des Cobimunes les rejoint pa par 60

88%

CLASSE B— Médaille du Conseil Provencher des Chevaliers de Colomb

Adèle Dupuis, Couvent de Letellier ren

es 1,

GRADE VII CLASSE A:-Prix provincial

<a

\ v

Ver"

Ë CLASSE B-—Prix provincial Rosa Huberdeati, Couvent de Saint-Lazare .__:. Agnès Vermétte, Ecole Saint-Jean-Baptiste-Nord

GRADE VI CLASSE B—Prix proniacial Adèle Brémaud, Couvent de Sainte-Agathe .

GRADE V Correction non terminée. Paraîtra prochainement.

-94Y,

GRADE IV CLASSE A—Frix provincial Yvette Arnal, Académie Saint-Joseph

CLASSE B—Prix provincial

Alice Arnal, Couvent de RE:

e 898%

LASSE C—Piix provincial

Jean-Paul Hébert, Ecole Bourret, Aubignÿ L'abbé Groulx l'a|°

REGINA —- Le chef. des cultiva-

teurs-travaillistes de la Saskatche- wan, M. M. J. Coldwell, a reçu de son médecin l'ordre de cesser tout travail durant deux trois semai- nes

SASKATOON -— Une société fas- ciste qui vient de naître dans le con- de Pelly, s'est donné comme mis- sion l'expulsion de tous les juifs du Canada, Sa constitution jui donne le même idéal que le mouvement na- ziste allemand.

‘“REGINA Il est probable qu'un député fermier-travailliste démis- sionnera en faveur de M, J. Gold- well, chef du parti fermier-travaillis- te, défait aux élections. M. Cokwall pourrait ainèi prendre la direction parlementaire de l'opposition.

QUEBEC M. le chanoine Char- du Chapitre métropolitain, à Québec, est

décédé à l'Hôtel-Dien, à l'Age de 77

notre | #ns et 8 mois.

TORONTO-—-Henry Arthur Sifton, fils de feu Arthur Sifton, propriétai: |re de journaux.et- homitffié politiquè;

maladie.

OTTAWA Une session spéciale de la légisiaturé de l'Ontario sera convoquée peu après le 15 juillet, an- monce le premier minisfre élu Hep-

grande f2rce d'expansion catholique | burn, si M. Bennett supprime le se-

français qui, sur un continent pres- | est mort à 43 ans après une lofiguer dans le monde. (Seite à ln page 6) cours direct À cette date.

4

_—

2

56%

: LONDRES Le prince de Galles est entré dans sa quarante et uniè- me année samedi.

PARIS La Chambre des’ dépu- tés a adopté un projet de loi char- seant,un comité d'enquêter sur l'im- portation du blé étranger.

ROME L'Institut International l'Agriculture estime qu'à la suite de la sécheresse, la récolte de blé en Europe donnera 280,000,000 de mi- ñhots de moins que l'année dernière.

—— 0 4h 4

Les résultats définitifs en ï Saskatchewan

0

REGINA —Les rapports définitifs |

de l'élection annoncent les résultats suivants:

Libéraux élus .… _… Li] Fermiers-travaillistes 5 Conservateurs (1) Electin remise 1 y =.

55

En 1929, Z4 conservateurs avaient été élus et 11 progressistes accor- dèrent leur appui à l'administration de M: Andersôn. Les libéraux avaient fait élire 28 députés sur un total de . 63.

Le premier acte du gouvernement sera de-rappeler la loi scolaire adop- tée à la dernière session et qui dans l'esprit de M. Anderson devait met- |

tre l'école hors de l'influence politi- | que. Cetle loi est contraire à tous |

les principes libéraux et contraire à la volonté de la population et nou- veau premier ministre élu étudie dé- les mesures à prendre pour l'em- pêcher d'entrer en vigueur le ler- août prochain.

cl

| LS Et Là:

CS nr meghsemnre nettement mme emmmmenmensemmimequeene

OTTAWA La banque du Ca- nada 'n'émettra pas de billets bi- lingues mais simplement des “bii- lets Trançais et des biilets anglais. Le wremier ministre s'est mis à che- val- sur la constitution et, posant nettement, brutalement, In question de confiance, {1 a fait rejeter l'amen- dement de M. Ernest Lapointe.

M. Bennett n'a pas manqué de citer au long la fameuse déclaration de Laurier, en 1907, à la Chambre de Communes, sur une résolution de M. Armand Lavergne qui demandéit déjà de la motnate.et des timbres- poste bilingües. Le, gouvernement l'a entvres par un vote de 69 à 42. Par le même vote, l'amendement Lapointe a été rejeté et le texte nifis das le bill par M. Rhodes a été adopté.

T1 n'y a que quatre députés con- servateurs qui n'ont pas tenu compte de la question de confiance et qui ont voté pour l'amendement Lapoin- te. ‘Ce sont MM. Onésime Gagnon (Dérchester,) J. A. Barrette (Ber- tiier-Maskinongé,) _J. L. Duguay {Lac Saint-Jean), et Henri Larue (Matane.) i

. Le vice-président de la Chambre, M. Armand Lavergne, qui est gra- vement , malade depuis pluëleurs mois, avait, faitun effort , as- élstor. au débat sur cette-iiäestion. Son intention- était de parler après M, Bourasda, d'appuyer de son dis- cours et de son vote l'‘amendémént Lapointe. 11 a été forcé de se reti- rer, péniblement, sur ses deux bé- quilles, avant la fin de la séañce.

Neuf votent contre

Neuf conservateurs de langue française ont voté contre l'amende- ment Lapointe, ce sont: MM. Maurice Dupré, solliciteur général; Sam Go- beil (Compton), Geo Laurin (Jac- ques-Cartier), Raymond Morand (Essex-Sud), J. L. Baribeau (Cham- plain), Charles Bourgeois (Trois-Ri- vières), François Laflèche (Rich- motid Wolfe), Charles Belec (Pon-)

tiac), -J. Eugène Tétreault (Shef- ford.jt Les autres ministres (@e Québec

n'ont pas voté. M, Säuvé, ministre les Postes, était, dit-on, pairé: avec M. P. A. Séguin, député libéral de ‘Assomption-Montcalm. Ni M. Du- ranleau ni M. Cahan n'assistaient à la séance.

Un seul libéral anglais, M. J. L. Brown, (Lisgar, Man.,) a voté: con- re l'amendement Lapointe.

Tous les autres votes libéraux ont été pour l'amendement de même que celui de M. Henri Bourassa.

Tous les votes conservateurs ont été ‘contre l'amendement, de même que tous les votes de la cécéefte.,

M. Ernest Lapointe | L'ancien ministre de la justice présente son amendement qui est d'ailleurs très simple. I] s'agit de| pp per le mot ‘‘ou'’ par le mot! | " dans le texte du paragraphe n Pré l'article 24 du projet de loi. M, Lapointe voudrait que la fin de ce| paragraphe se lise comme suit: ‘’Tou- | tefois, les billets libellés en anglais! et en français doivent être disponi- | bles lorsque requis."

1] s'agit simplement de faire le choix entre deux méthodes d'émis- sion pour les billets. 11 a la certitu-| de que celle qu'il préconise par son amendement est la plus pratique et la plus commode, Pourquoi le gou- vernement et toute la Chambre ne| | l'accepteraient-ils pas?

Le premier ministre M. Bennett dit qu'il n‘ignore pas |

la campagne de presse qui s'est | | faite eu sujet de cette question et} | qui a fortement soulevé les senti-

|ments dans divers groupes. Lens |

Province de Québec on a aë- noncé comme trajtres à leur race |

ceux des députés qui n'ont pas voulu accepter les vuds de M. Lapointe à propos de billets Vuanes pour,,la Banque du Canada.

M: Bennett rappelle ävec force dé- tails le débat qui eut lieu, le 26 té- vrier 1907, à ln Chambre des Com- munes, à propos mage À à de timbres-poste fi Qi note que le NT vor actue la Mage api M: Armand Lavergne, ainsi ‘actuel député de Labellp. M. prieur à faisaient aiors partie de Ja Chambre ,et partici- palent au débat. 11 s'agissait d'une

ution. de.M, Lavergne de dant que le français tAt mis aur le même pied que l'anglais,

Laurier

Sir, Wifrid_ Laurier, qui F alorgf premier ministre, l'amendement suivant à la } tion: ‘‘La langue française, est pe fait aussi bien que constitutionnetlé- ment sur un pied d'égalité avec ae £lais,”

Kt-dans son discours, Laurier PI clgrait! ‘Sans doute, 11-y a grét- des circonstances le .f ; doit être parité, 11 y a des cérém publiques 11 faut qu'il soit | se CIRE un, peu lofn, je j 1 que d'affirmer qu 5 que le français “rs s emors toute ovcasion-et rublic doit être re à és ( d'un côté ét éf anglais de l'ai Je coniprends, paf efémple, que mon honorable ami veut que tes btitété :‘ de bénque soient Veritas ul 3 en

français soit en angiäis.”

La majorité

“Rien n'est plus faux que dé” départir d'un droit constitutionnél; s'écrie M. Bennett, Rien n'est plié fatal qu'un effort pour imposer À une majorité la volonté d'une mifiô- rité lorsque les droits sont fixés pâr | la loi. Depuis quand la volofité d'une minorité doit-elle préval sur celle de la majorité? er + quand les minorité doivent-alles “fi- : sister pour que l’on néglige la © titution et prive les majorités 4 leurs droitd? C'est la questions

Le maintien de la loi d' pour ceux auxquels la constitution accorde l'égalité en vertu de ticle 133, est une question ..de vie ou de mort pour le gouvernemeñli. Nous nous en tiendrons à cela ou nous_ tomberons. Le premier F=- uistre invite la Chambre à 1af flexion. Il rappelle que les sta les journaux et les débats, de” Chambre sont publiés dans deux langues. 11 demande de biéñ y songer avant de réclamer que l'on tasse fi des claires dispositioïis LT loi qui ont été observées. jonc” solxante-sept ans, |

M. Mackenzie ar 1 di

Le chef du parti Mbéral, kenzie King répond au pare nistre. 11 dit que contrairement à! qu'avance M. Beñnett, M. a: Lapointe n'a jamais demandé LL emende la constitution, en cette - faire des billets bilingues. Ce n'est

pas une question de’ constitutiôt mais de méthode . d'émission

{billets pour répondre le mieux &

besoïns du pays et promouvoir l'harmonie entre les deux groupes. Quelle est la méthode la plus sa- tisfaisante pour nous, de langus anglaise, quand il s'agit ‘de, cetté monnaie de la Banque du Canada? Lorsque nons recevrons un qu ment quelconque en billets, al rons-nous mieux le recevoir plétement en billets français billets anglais; ne serait-11 k mieux de les recevoir ‘dans 1é# | deux latigues à Ib fois? C'est toute la question. Ces billets cireuletof d'un bout à l'autre du pays, Q

|(Suite à 14 deuxième page)”

3 et

RC REDI SOIR

«Mardi et mercredi

#

4 juillet

l'a

EN

-…

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Li Javimbre 8 614 3 mois de l Apolo: Æétique Une loterie au profit de la .Palestre Nationale favorisant notre

.hégion à 8. E. Mgr Yelle.

Décembre, mois des questionnaires l'un était destiné à compléter

tiotre nouveau systéme de fiches;

nt: Janvier a été le mois de l'AC.IC.

A cette occasion et grâce À la bien- vetilante hospitalité que nous accorde

"le journal la “Liberté”, une série de ‘'einq articles a été publiée dans ses

-:colonnes. Mgr Yelle ayant bien voulu

accepter d'en écrire le premier.

, Février, selon la coutume établie r le Comité central, est demeure mois de l'Epargne. C'est en ce

: mois que germa l'idée de la fürma-

Hon des cercles de Jeunes Jardiniers.

De concert avec l'‘‘Extension Ser-

nVce” dy département provincial d'a-

& griculture, nous comptons aujour-

d'hui une quinzaine de ceroles.

Mars était le mois de. la Bonne

‘Presse. Encore ici, par une série d'ar- ficles dans la “Liherté”’ avec l'encau- ragement de S. E. Mgr Yelle, nous avons pu préparer les esprits à notre

mois de propagande en faveur du bon journal. Deux pétitions ont été

‘lancées, l'une originaire du cercle St- Norbert de’ Letellier, demandant un

fonctionnaire bilingue à la ferme ex-

périmentale de Morden; liautre, a-

‘dressée au premier Ministre, M. Ben-

i nett, à M. Duranieau, Ministre de la Marine et à M. "fhom&s Maher,

: Vice-président de la Commission ra-

- diophonique, quant au français à ja

Fâdio. Le comité a aussi réuni le con- seil des cercles de ville pour facili-

" Ler le rouage de chacun.

#” Le mois d'avril a vu le déctanche- ment de la campagne d'abonnements à la “Liberté”. 14 cercles sont en-

‘trés dans le mouvement et ont réali-

‘sé jusqu'à aujourd'hui le total de 171

ræéabonneménts et 54 nouveaux abon-

,pements, soit ün montant de $449. Enfin, le Comité est venue en aide au Bazar du Collège.

C'est grâce À notre président ré-

gional qui, par son installation, nous

‘permettra de sortir un bulletin men- -«#uel pour la région. Ce bulletin désor- mais sera tonnu sous le :nom de

: l'Animateur et ses collaborateurs se- ‘ront les acéjistes.

Depuis le mois de février, 10 cer- ['eles ont été visités et le cercle de Notre-Dame de la Miséricorde de

.F'Tle-de-Chênes a été affilié.

“Rapport annuel des cercles de l'Union Régionale de : Saint-Boniface

ti D:

Bien que nous ayons adressé des l'éreulaires à 26 cercles de la région,

°%47 nous ont fait parvenir leurs comp-

tes rendus Un cercle n'a rien en: | woyé, cependant nous le savons en »- pleine activité. 5 cercles n'ont donné aucun signe de vie, tandis que trois . Autres sont encore en formation. Dix

f MAL EN TRAIN? Pa rai Hal

ErsE

| propagande pour la “Liberé”,

:ses réunions au Collège, il n'a pas les | ‘“teraintes de savoir les mémbres dans

SRE |

pad. épargne jardinage, la crise l'étude, l'apostolat et l'au- torité dans TA AC.IC.: on commente les circulaires du comité régional et les articles de, ja “léberté et l'on discute opportunité de s marier jeune ou vieux.

Comme action, ils ont l'entretien et la surveillance de la salle paroissiale et de la patinoire, l'organisation des

membres adorateurs; le service du

café aux retrafants éloignés; la dif- fusion de la Bonne Presse, la forma- tion de clubs de Jeunes Jardiniers et de balle-molle, une séance au pro- fit ‘du sanctuaire, la part prise au banquet paroissial et 1x requête du à la radio. : La Vérendrye de St-Boniface

Le cercle à tenu 8 réunions régu-

lières; la moyenne d'assistance est

de 76%. J

L'étude comprend: la restauration sociale; l'enseignement du français au Canada avant et après la, Con- quête, et en Acadie; les Eclaireurs <anadiens-français; l'avènement de Galilée; l'histoire manitobaine: l'af- faire Scott; l'orchestre moderne avec illustrations lumineuses et sonorés; enfin deux débats publics: “Nos en-

fants parleront-ils français dans 295

ans?"-et ‘Radisson est-il un type à proposer comme modèle à la jeunesse écolière 7?" \

On s'occupe de la diffusion de la “Liberté” et on organise des soirées intimes. Le Cercle La Vérendrye peut se piquer d'avoir un de ses membres au Congrès fédéral l'an dernier.

Notre-Dame de la Miséricorde de

l'Ile-de-Chènes

Le cercle N.-D. de la Miséricorde est nouvellement affilié; i] a tenu des

séances régulières pendant toute l'année.

Les sujets d'études sont: le bon journal, .les questions sociales, les

hommes mariés au sein du cercle, et une discussion sur le mais et les sauterellés.

Jis ont construit une salle parois- siale sous la direction de leur dévoué aumônier; chaque acéjiste a fourni sa journée de travail. Aujourd'hui on s'en sert pour les parties cartes et les réunions qu cercle. On vient

en aide aux missions du nord et on} ‘prête main -forte à la paroisse. Les

propagandes de l'A.C.J.C. et de la. “Liberté” vont eu leur essor. La for- mation d'une bibliothèque est aujour- d'hui un de leurs soucis. Notre-Dame des Victoires de Laurier

Bien ‘qu'il soit le plus éloigné de tous les cercles, il ne manque pas de vitalité: les réunions sont régu- lières et l'assistance se porte à 82% de moyenne. |

Leurs points d'étude sont: le jeune hamme moral, ouvrier et pratiquant; la famille et la Bonne Presse; le plaisir et la jeunesse, la fatalisme. Enfin on commémore deux héros du mois: Dollard et Jeanne d'Arc,

L'action consiste en du recrute- ment, des concerts, une enquête au sujet de la radio, des séances récréa- tives, enfin l'achat d'un billard pour le cercle. :

Paré de St-Norbert f . L'A.C.J.C. est une des questions à l'ordre du jour du cercle Paré de St-Norbert. On parle d'apostolat et de mauvais livres et l'on s'inspire des conférences de Mgr Gibier.

lis ont pris une part active dans la. ils se sont occupés aussi de la loterie de la Palestre Nationale. Lis ont comme coutume de rendre. leurs derniers hommages aux défunts de la parois-

Père Hlain de St-Boniface & llest grai que le cercle Père Blain n'a qu'une année d'existence, mais ne comptert-il pas aussi des vétérans de la cause actjiste? On a tenu 6 réu- nions et l'on compte 13 membres. La moyenne d'assistance est de 70%.

Les sujets à l'étude ont été: l'ac- tion intellectuelle; la stérilisation: l'enseignement du français au Cana- da; entin l'histoire canadienne,

Provencher de St-Boniface : Comme le cercle Provencher tient

une tempête de neige, ou embourbés chemin faisant. 11 compte .28 nfem- bres qui ne manquent aueuge réu-

J'aviculture et

Pour des raisons très spécialés, le cercle Sacré-Coeur n'a pas pu fonc- tionner ‘régulièrement comme il l'a Aéjà fait; cependant il a concentré sés efforts vers l'organisation de la jeunesse paroissiale et l'on a obtenu d'heureux résultats.

On fait toujours du chant pendant le mois de Marie, et la propagande en faveur de la “Liberté” est pour eux une prganisation de longue däte, aussi sont-ils forts de. leur abonne- ment perçu: en Chine! : "°°:

St-Adolphe

Ce cercle ne comprend que 11 membres, Céla- semble peu, mais comine le dit si sauvent son président, “c'est uh Hercule en bonne volonté’; témoin sa moyenne d'assistance qu ; s'élève à 97.5%.

. Une série causeries sur l'h:s- toire du Cänada leur est.d'une gran- de importance: on discute tour à tébr l'apiculiture, Tarbori@iture et la fa- brication du fromage à domicile. La coopération et le chômage sont d'un

-grand intérêt, et l'on passe des com-

mentaires sur les articles de 18 “Li- berté”.

s Ste-A ste

Ste- -Agathe réunit 18 membres; la

moyenne d'assistance est de 874%. On fait la chronique en commun et l'on dirige la discussion au moyen d'un questionnaire sur la conférence précédente, 11 en a été ainsi pour la série de caüseries sur l'industrie lat- tière et c'est une très heureuse idée. Conformément aux programmes du central et du régional, on a étudié l'Epargne et l'A.C.J.C. dans ses cons- titutions. Le patriotisme et le catho- licisme au Canada, ainsi que Ja ques- tion cécéeffiste sont aussi au pro- gramme. |

On a formé un cercle de Jeunes Jardiniers et entré dans le mouve- ment du bon journal. On a envoyé une ‘requête au sujet de la radio et encouragé le Bazar du Collège.

St-David de St-Jean-Baptste

Le cercle St-David réunit sa ving- laine de membres avec beaucoup de succès, puisque la moyenne s'élève à 96%. Serait-ce à son prix d'as- siduité? |

L'agriculture, 1'industrie. laitière, l'arboriculture sont des sujets pleins d'actualité einsi que l'A.C.J.C. et la CCF.

L'on a organisé trois débats, a sa- voir: ‘“’Devrait-bn rester sur les ter- res dans les conditions actuelles?” “Le Suffrage féminin est-il accepta- ble?” et la question qui a connu tant de vogue, ‘Faut-il $e marier jeune ou vieux ?” On s'est occupé ac- tivement de la refrancisation locale et dirigé uné propagande contre le blasphème. On a signé requêtes et protestations, contribué à l'oeuvre du Collège. de’ Graveibourg et formé un club de volailles. On a construit une patinoire et organisé les joùrnées a- gricoles. En plus, on est venu ën aide au sanctuaire.

- St-Denys de Haywood

Nous sommes heureux de saluer l'entrée du cercle St-Denys dans les rangs de l'A.C.J.C. Ce cercle, après s'être, imposé un noviciat de deux aunées durant, nous présente 16 membres bien imbus de l'esprit acé- jiste. La moyenne d'assistance est environ 75%.

Les questions agricoles, ‘apicoles

-[et laitières sont d'un intérêt primor-

dial, ainsi que l'histoire du Canada et de l'Angleterre. Trois débats pu- blics ont été brganisés: ils méritent que l'on en fasse mention: “Le ca- pitalisme est-il la cause de la crise Ces

Pas de repos avec ‘Fasthme— L'asthme attaque ordinairemert la nuit, alors que l'on a le plus besoin de repos. D'où la perte de force, la débilité nerveuse, la perte de poids et les autres maux auquel l'on peut s'attendre si l'on n'obtient pas de soulagement. Heureusement le sou- lagement .est: possible. Le: remède pour d'ashihé du Dr Kellogg à prou- ses mériles par les années de service. Un.essai vous convaincra certainement, : 2,

; .

DA. .

pour l'AC.J.C. et la Bonne ‘menée à bonne fin. St-Norbert de Letellier

Les 24 membres du cercle de Letel- lier ne sont pas restés inactifs: l'as- sistance au cercle est de 85%.

On a mis à l'examen les devoirs d'un acéjiste et l'étude dans l'AC. C, de même que l'Epargne Les coopératives et la culture de la bet- ferave à: sucre ne. sont certainement pas sans intérêt. On a discuté sous forme de débat l'opportunité J'avoir des chevaux sur la ferme et l'avan- tage qu'a la cuiture de la terre sur

les Sports. . L'histoire du Canada complète le programme. On # vu à l'organisation d'une

tes et aux dénnees. Le R. P. Aumô- nir les a réunis chez Jui pour une veilée intime. On a dirigé avec beau- coup de succès la propagande pour la “Liberté”.

| St-Pièrre-Jolys

Le cercle de St-Pierre comprend un cercle d'étude et 4 sections; la moyenne d'assistance du cercle d'é- tude est de 83%

Ayant un agrohomi comme prési- dent, il va sans dire que l'on parle d'agriculture. On étudie aussi la C. C.F. et son principal tenant: Woods- worth. Le- système bancaire fait l'objet d'une causerie.

La section agricole comprend plü- sieurs cercles de jeunes jardiniers.

La section musicale prépare dès messes en musique et contribue son appoint à la section dramatique dans l'organisation des séances.

Enfin la section sportive fait partie d'une ligue inter- -paroissiale et se van-

te de gagner une coupe. Une séance |

publique et un débat complètent l'an- née.

; Taché de Lorette

, Le cercle Taché depuis sa réorga- nisation, /a fait preuve d'une grande activité. Il comprend 36 membres et la, moyerne d'assistance est de 70%

On a traité d'abord rimpdetanee et l'avantage de l'A.C.J.C. le bolche- visme et le communisme. On a consi- déré la nécessité de l'union dans tou- te organisation et compilé l'histoire de la paroisse par des recherches in- dividuelles. La Bonne Presse et l'E- pargne ont été choisies en conformi- té, aux désirs du Comité régional. La crise a fourni un sujet propre à la méditation.

L'on a réclamé du français au dé- partement fédéral, organisé une jour- née d'agriculture et plusieurs séances avec la collaboration des avant-gar- distes. Des parties de cartes et une veillée de famille ont sy mettre beau- coup d'entrain au cercle. \

Jeanne d'Arc de Notre-Dame de Lourdes

Læe cercle Jeanhe d'Arc a tenu 15 réunions régulières et compte 39 membres bien, gctifs

Les sujets d'étude ont été l'Apolo- gétique, la Tuberculose; le docteur de la place a exposé ses raisons pourquoi il était, déiste tandis que le R. P. Curé traita des infiniments grands et des infiniments petits. Des conférences agricoles et apicoles n'ont pas manqué de soutenir l'inté- rêt. . :

On a donné dix dramatiques; au cours de la saison et l'on s’est occupé de la diffusion de la. Bonne Presse. x

Je tiens à remercier les cercles qui ont fourni la matière de cg rapport et j'espère que l'année pro- chaine les comptes rendüs plus nombreux témoigneront mieux du

succès toujours grandissant de notre |.

association.

Le Secrétaire du Comité régional.

_—

PIERRE RADISSON

Roi des Coureurs de Bois

———————

“Histoire pittoresque du premier blanc

qui s'aventura à loucst des Grands Laes, il fit connaître le nom de la France, dès le milieu du XVIIe siècle.

——

$1.00 franco à la ‘Liberté” et dans les librairiog françaises

L'action du cercle est tout à fait à lé: un travail de refrancisa- tion locale a été ébauché, et une pro-

‘conseryatrices dans

"| s'est en plus arrangé de £açon à.

niqué fe M.

représentations

UE L JOURNAUX

D Sa oi AE

Le bDevoit, (Omer Héroux}:

: Le résultat ne saurait ma de retentir blen au delà des frontières de l'Ontario et de la Saskatchewan. HN suit, on sait, d'autres défaites Tordre provin- al. Dans le cas de l'Ontario, on

que l'échec frappe en pleine figure M. Bennett lüi-méme. A la dernière beure au moment où, cette interveh tion ne pouvait avoir aucun’ effet pratique et n'avait pour résultat que de le solidariser plus étroitement à- vec M. Henry, on lui a demandé, à lui qui n'est qu'accidentellement de l'Oitario, faire un, appel aux élec- teurs ontariens. C'était le jeter, et bien inutilement, sur la route du cy- ciène gui déjà secduait la province.

Indiscutablement, ces deux üdéfai- tes conservatrices provinciales, qui suivent de si près de pareilles débâ- cles en Nouvelle-Écosse et en Colom- bte, de même que” ‘de notablés échecs consérvateurs dans des élections fé- dérales locales, ne présagent rien de bon pour les conservateurs d'Ottawa. Ellés fouettent violemment l'ardeur

et l'optimisme de leurs adversaires; |

et l'on peut s'attendre à ce qu'ils ne tardent point à réclamer une pro- chaine ét rapide consultation popu- laire. Leur/ argument est tout prêt, on le trouve dans le premier commuü- King aux journaux: cette série de défaites indique que le gouvernement a perdu confiance du public, qu'il ne répond plus aux désirs ni auk ESS pbpülaires. _ +

Sept députés canadiens

français pour l'Ontario Le Droit (Charles Gautier):

Sept candidats canadiens-français ont été victorieux aux élections d'hier. Un candidat libéral de langue français aurait-il été sur les rangs dans Glengarry, nous compterion aujourd'hui huit représentants à la législature de Toronto.

Quoi qu'il en soit, le résultat obte- nu doit nous combler de joie ct nous sen de la confiance. C'est en effect

heureux événement de pouvoir PJ sept députés franco-ont2- riens dans une législature. de 90 mem- bres, puisqu'aux élections de 1929 nous n'avions remporté que cinq siè- ges sur un tot# de 112.

Nous avons. actuellement $ept dé- putés, et nous aurions pu facilement en avoir un de plus. Par conséquent, c'est dans huit comtés que nous dis- posons à peu près sûürement de Ja majorité de l'électorat, Dans neuf autres comtés de l'est et:du nord de la .provinee, l'influence du franco-ontarien esi appréciable: quelques-uns, pondérante.

T1 importe donc, plus que jamais, de. nous serrer les coudes, de nos positions, de présenter un front uni aux puissances du pue, de ne pas craindre de réclamer ec qui nots revient, et cela dans quelque domai- ne que ce soit.

Dès maintenant, .nous sommes as surés d'avoir un représentant dans le prochain cabinet, un'Ministre qui aura un portefeuille,

vote dans elle sera bientôt - pré-

| Vy ae TE que M. nn

quelque peu “diminué Hatsriasen de la question, pendant. que le pre mier ministre l'a ecédsrés. Au cours ‘| de ses observations, M. Bourassa dit

perce représente pas les aenti- ments de la masse : de 13 tion, fi n'approuve pas les billets de ban- que actuels. portant ia photographié de quelques citoyens respectables et d'autres qu'il qualifie’ de. “high

le papier-monnaie vrait porter l'effigie du roi, pas cu roi d'Angleterre, mais roi du Ca- nada.

Qui est-il? demande un député conservateur. ,

Le roi George, De M. Bou- ‘rassa.

"Le député de Labelle croit que les billets bilingues seraient un symholé d'unité et coopération entre les deux grandes races du pays.

Fas de Canadiens ‘Un important améndement de M. Maxime Raymond, député de Beau-

un: vole

EE U à épousé le 26 décembre 1911,

Violet | en, de Cräik, Sask. le er :déeembre 1917. 11 & trois en- fants, _Ficrence, John Edwin et James Wilfrid. IT ést membre de

celclass erooks.” M. Bourassa dit que ‘’Égtise-Unie et demeure à Régina. du Cañüda de-}

2 te A —— Entre deux lurrons A Bruxelles, .un prêtre monte dans

13 tram. Il n'y a plâäce (très peu de.

place) qu'entre deux gros messieurs auc l'abbé reconnait pour deux pueux de marque.

Vous voilà comme Jésus- Christ sur la croix, Monsieur le Curé, LL “e. d'eux en ricanant.

Et comment cela, Monsieur”.

FER N'étes-vous pas entre deux tar- rés? dit. l’autre.

On! Messieurs, je D'aurais pas osé le dire. Maïs, puisque vous le

harnois, qui demandait que ce soient dites, je_vous avoterai que je suis des_citoyens -capadiens qui occupent éncore plus gêné que -Notre-Séigneur les fonctions üe houverneur, de sous-|cntre.ses deux Jarrons.

gouverneur et ‘de gouverneur adjoint de la nouvelle banque, a été rejeté. D'après le texte du bill, ces trois hau- ‘tes fonctions, les plus importantes dans ‘la nouvelle institution, pourront ‘être occupées par des gpiets britanni-

Z ft pourquoi cela? Dame! moi. je ne peux pas -rouver le bon'.….

Élle ne pouvait manger “Je n'avais pas d'appétit et ne

ques tout simplement. Il ressort net- pouvais manger” , écrit Mmé- D. Ko-

tement débat que le premier mi-

priva, de Baden,

nistre a décidé de choisir des gouver-|trois docteurs mais aucun ne sem-

ïeurs en Angleterre. A son dire,

il|blait me faire ‘du bien, Après avoir

n'y a personne àu Canada qui puisse | pris la première bouteille de Novoro

Pa, ‘Je, consultai

remplir des fonctiüns -de-ce gente|du Dr Pjerre, ma S$änté fut bien parce qu'il n'y a personne qui s’y en-| meilleure, je puis mañger n'importe tend en fait de banqgñe centrale. M.!|quelle nourriture à présent’. Cette Bennett dit que tous les gérants gé-|fameuse médecine herbeuse régulari- néraux de nos banques à charte le lui |se les fonctions de l'estomac, stimule ont déclaré et affirmé. Aucun ne se-|la digestion et augmente l'appétit. rait disposé à accepter pareille char-| Si vous nié pouvez l'obtenir dans vo-

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garder griculture près de St-Thomas et y

prospéra. 11 servit-comme lieutenant dans l'infanterie canadienñe puis dans l'aviation canadienne U fut secrétaire de la section U.F.0 d'Est-Elgin pendant trois ans, En

1926, il se présenta comme candidat libéral fédéral dans E Igin-ouest et enleva comté au: conscrvateurt

M. Hepburn par une majorité de 178. Le comté

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il portait sa majorité à

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somt| conduisant la lutte provinciale de-

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rant rété de 1654.

le nom de rivière des Iroquois Mat-

sd Ses proportions: otaie ont es

de surprise.

à aitu a'œux Bis it mA ar dcr &er malaise général issu de la crise. Quand les affai- | et que le peuple est mécontent, le parti au pot- |: e préparer à soù rôle de bonc émissaire: ainsi le du jeu électoral. I n'y a donc pas grand mérite

une qe cette double défaile sonne le glas de l'adminiis-

ffntion fédérale actuelle. M. Bennett aura du moins la ressour- ee de retarder quelque peu l'échéance, avec l'espoir de la ren- dte moins douloureuse; mais il devra se résigner à s'entendre. Pr de Riciviieu: ‘“L'habitation des dire et répéter que son gouvernement a pérde la confiance du | Trois-Rivières est piacée dans un des püblic. | plus beaux. endroits de ce pays, si Si le triomphe des libéraux à été si complet, c'est que les |! température de l'air est bien mo-

, ACF. n'ont pas réussi à infuéncer le vote d'ute manière ser- dérée, terroir plus fertile, la pêche sible, comme l'on s'y attendait généralement. Dans, la Saskat- hiéwan surlout, à la faveur des cénditions économiqués adver-

ce soir et qui partiront demain, portant avec eux le témoignage sible de leur application au Nous avons tout lieu-- ds ÿ que, dans l’ensernble, les oft été gagnés par les plus aborieut. Pourtant, si l’on tient compte aptitudes respectives de chacun, l” constatera que le tribmphe de ques-uns repose sur léur marge” &# talent, tandis que d'autres, qui s'ef iront les mains vides, ne sont ; pds r|sans avoir fourni üñe somme de tré:

fees remis” ce dés lièris de taimille qui #étatent péséablement

#%s. on pouvait craindre que nouveau parti réunirait assez |1s France, c'est-à-dire le septem- | vail considérable. Sans vouloir ré! ab LE CE d'adhérents pour brouiller les câftes ét füire obstacle à une }bfe, K Pête Lejcune quitta Québec | baisser le mérite des uns ni consd- te pour vié: Sans voulotr

ler les autres (que je présume asséz fiers pour $e passer de ce genre satisfaction,) je me permettrai de rappeler unè vérité qui, ÿour n'être pas neuve, n'a rien perdu de sa fof, ce: les premiers auraient. tort de voir dans leurs-suceès d’aujourd'huif le présage d'une fortune exemptë# de tout revers!-et les seconds, en s résignant à occuper, dans la mélée humaine, la place qui leur échoît dans les-examens collégiaux, morñ- treraient trop de m ie. Ni les uns ni les autres ne peuvent raisori- nablement considérer ces résultats comme le sceau décisif de leur ave- nir.

avec le Pére Buteux pour aller hi- vernér à la nouvelle mission. Ils arri- vérent aux TroisRiviérés le 8, cinq jouts plük tard.

Voici en quels termes, le Père Le- jeune décrit la première habitation de la communauté aux Trois-Riviè- res: “Notre maison, en ce premier commencement, n'était. que quelques ‘bâches de bois jointes les unes auprès des autres! enduites par les ouvertu- rés d'un peu de tefre, et couvertes d'héfbés: ñoüs avions en tout douze pieds én quarré pour ia chapelle et pour notre demeure, attendant qu'un bâtiment de dry qu'on dressait fut achevé”.

Et li vie de [a Petite colonie tri- ftuvienné se déroule, monotone dans It régularité des jours, sublime dans le travail de fermentation qui occupe les esprits et les Ames. Et c'est de ce ferment qüe sortira la ville pacifique et industrièuse. L'hiver s'abat sur le petit village. Pendant les six mois que dure ce"sommeil blanc, le travail manuel se raleñitit, se suspend Mais la méditation s'empare des esprits. C'est au cours des longues soirées pensives que s'élaborent les plans de la grandeur future de la nation

Au cours des fêtes de cet été, une part substantielle sera faite, parmi les personnâges honorés, À ceux qui révérent la grandeur présente de Ja Mauricie, ceux door: lgs trésofs de pensée valent À l4 vifle et à la région des Trois-Rivières d'être aujourd’hui l'une dés clés dt retour à la prospé- rité de tout un peuple.

Dufant les mois juillet ét d'août, des célébrations grandioses, comprenant des pägeants et un grand dffilé historique reproduisant, entre

Majorité de gouvernement. Rien de tel s'est produit. Appa- fémmenit, la province voisine, malgré les rümeurs qui ont cou- fu, n'est pas encore mûre pour une expérience Yisant à trans- former de fond en comble notre système actuel de propriété @ de production. Cinq députés CCF, sûr 56, c'est peu; mais ée premier résultat n'est Cependant pas tout à fait négligeable. En examinant d'un peu les chiffres du scrütin, on s’aper- goit qu'en beaucocn de cas le candidat fermier-travailiste ar-

five bon. second et bien avant son adversaire conservateur, ti LA 1]

ménde se substitnier à ut,ont qualité pour diriger le d'um état de vié, les menibrés de l'Amiesle érotent être ef mesure

périences précienses et de prémunir, sinon d'immüniser, les jéeunes con- aquérants ÿréts à affronter le pumul- te du monde ‘contre certains eou- rants d'air froid qui atteignent par- fois le plis intrépides. D'autre part, nos: collégiens n’ont pas de temps Plus propice que les vacancés pour suivre le précepte du ‘‘Connais-tof toit-Méême'' du philosophe grec et pour tirer leur ligne d'orientation dans la recherche de leur vocation.

Nous les anciens, nous attendons à ce que, par la noblesse de votre at- titude et de votre langage, vous pro- longiez l'influence de votre collègé dans votre entourage. Si vous vous appliquez à faire rayonner son es- prit, sans vanité certes, . mais sans réspect humain (ee dissolvant funes- te des meflleures dispositions,) vous convaincrez vos parents et vos amis de l'excellence de la formation que vous y recevêz. et vous devtendrez ainsi nos auxiliaires les plus pré- cieux dans Ja propagande que nous voulons faire en faveur des études classiques.

Le succès dans ces études dépend assurément de l'élève et du profes- seur, mais, poar obtenir un rende- ment‘ maximum, il faut faire jouer un tiers facteur: l'intérêt des pa- rents dans les études de leurs fils, intérêt qui exercera une action sti- mulante sur leur ambition d'appren- dfe et de tirer de leur cours tout le profit possible. “Je fais grâce à un jeune homme, déclaré Eugène Lauttér, pour tons les théorèmes qu'il a oubliéé, s'il a appris à bien raisonner, Et je fais grâce à élève d'hümänités pour tous les

“»— Nous n'avons naturellement aucune sympathie pour le Pieinier ministre Anderson el le sort ‘qui lui échoit est atmple- ent mérité, bien que l'annihilation complète ne soit pas une factique recommandable en politique. En 1929, il est arrivé “à pouvoir en agitant: l'éponvantail de la domination française qi catholique. Ses promesses éleciorales, qui comprenaient la disparition du crucifix et du costume religieux dans les écolés publiques des centres catholiques, ont été réalisées à la lettre. Qn est allé jusqu'à imposer l'anglais pour l'enseignement du cäiéchisme qui s'était toujours fait dans la langue maternelle des enfants.

4 - Depuis quatre années, la Saskatchewan s'esl acquis une Mtiste réputation par les fréquents appels au fanatisme émanés de cette province. C’est de que partaient, récemment encore, éæs violentes attaques contre le français à la radio qui ont eu leur écho à travers tout le pays. Dans les milieux qui nous Sont peu sympathiques, pn semblait vouloir attacher de l'im- porlance à ces récriminafions du fait qu'elles répondaient à ufe politique officielle bien définie et censée iraduüire de senti- ment du peuple de la Saskatchewan. C'est apparemment ce

qui donnait de l'audace et un certain poids à un Turnbull et à un Cowan, quand ils partaiert à Oftawa au nom de leurs frères orangistes.

Et cependant, on s'et souvient, le parti PA n'avait retuporté qu'une vicioire très relative en 1929: il comiptait à la Chambre moins de sièges que les libéraux et ne se maintémait que grâce à Fappui de quelques progressistes et indépendants. C'est avee cette ombre de majorité qu'il a pu donner libre | autres, la scène de fondation du fort

cours à son seclarisme et ternir le bon renom. de Ja province.| des Trois-Rivières, se dérouleront

Anderson subit le sort réservé tôt ou tard à tous les per- | “i-

Louis Pasteur, qui ne fut pas un premier de classe, mais qui, par contre, est devenu J'un des ‘plus grands bienfaiteurs de l'humanité, écrivait un jour à ses soeurs: ‘C'est beaucoup que de vouloir; car l'action, le travail suit toujours volonté, et, présdüé toujours ausst} le travail a pour compagnon le suc- cès. Ces trois choses, la volonté, le travail, le succès, se partagent tou- te l'existence humaine. La volonté ouvre la porte aux carrières brillan- tes’ et heureuses; le travail les frant- chit, et une fois arrivé au terme du voyage, le succès vient couronner l'oeuvre.” | L'un «des plus illustres parmi les Pères de Confédération, Georges- Etienne Cartier, ne possédait aucuh des dons merveilleux dont l'imagina- tion populaire aime à auréoler le |front du chef de peuple. Mais sa A voix grêle-et son élocution laborieu- se ne l'empéchèrent pas de dominer son époque. Jamais il ne discutait une question sans en avoir examiné tous les aspects et, pendänt de nom- breusés années, il travailla en moyenne quüâtorie heures par jour. Au fond, nous sommes enclins à

2 ;

sécuteurs. Le châtiment ne se sera pas fait attendre, mais son U lément d pages 4 dorer cd À! résine pren es mg dpt ja w. court règne aura élé néfaste pour nous en Saskatchewan. C’est 2 “De 59 sans nous préoccuper suffisamment 1 mms no" es pa”il . qu'en matière de législation scolaire, —une douloureuse expé- de la sûreté du jugement qui la|, ah tue ou hier rien? “qu'im- rience le prouve,—une minorité tattrape pas aisément les Le “Devoir” vient d'insugurér un |5"1de. TF0D souvent aussi, ceux quf| et Cret-mainteñént qu'il va ap- droits qui lui ont élé une fois ravis.

ont acéompli de grandes choses nous appäraissént comme ayant ag} éous le coup d'impulsions incontrôlées et comme malgré edx. Ne vous ÿ trom- péz pas: ceux qui ont marqué les événements humains ‘de leur griffe ñ’y éont parvenus qu'au prix de pei-

supplément mensuel qui a pour ti-

prendre. Il a aequis le goût, la me- Si au moins le cas -d’ Anderson,—hier ministre tout-puis- | tre: “Notre vie catholique et natio-

âure, l'ordre, la précision, 11 à dé- sormais la capacité d'apprendre en peu de temgs ce qu'il voudra et ce qui lui sera nécessaire.” ,

Je ne veux pas terminer fans vous annoncer 4 bélle devise que notre Assoélätion s'est choisie et qui ré- éurñé. admirabléement l'esprit de l'a- |mtedié} “Quasi cursores, lampadss vitae tradunt” “Comme dés cou- réufs ls tranmettent le flambeau de la vie’’ Hôlé enviable que nous tächetons de remplir sans défafllan- ée et auquef nous vous demandons de vous associer dès aujourd'hui, car vous êtes le tfäit d'unfon entre fous et les générations de demain.

EEE 0er TEST

Et aujourd'hui plus que jamaïs, l'hommé dont les serviceg sont réclierchés est celui qui, animé d'un gränd désséin, s'est élévé jus- qu'au sommet de son métier, de son art ou de sa profession. Les parénts s'inquiétént de l'âvé- fr de leurs enfants ét céux-€1 dée- matident: farfois ce qué léur vâü- dront les étüdes classiques, qu'ils poursuivent dans cette maison: N'oublions pas que les possibilités sont plus vastes que jamais. Le droit, la médecine, la physique, la chimie, le génie, le comimercé : ré:l duièrent des adeptes de plus en plus obscène compétents, Mais on exige d'eux qu'ils se présentent s6n$ des dehors CINCINNATI--Un comité épinc soüriants que lof définit par -le moi} PA! De ‘emwtquee “ot: énig des Etats-Unis ont chargé d'étudier la question du cinéma a décidé d'ap- piquer un ‘programme d'action di- recte et positive pour protéger le peuple coftre le cinéma obscène. Une vaste association catholique désignée sous le nom de Légion la décemece a'fera une campagne dans toutes les

Une campagne aux Etats- Unis contre le cinéma

sant, aujourd’hui simple chômeur, pouvait faire réfléchir ses | nale”, et se publie sous les auspices éntules et ses admirateurs! _— dun groupe de sociétés catholiques: : x " Associätion Catholique des Chermi- e

" Donatien FREMONT., nots, Association Catholique de la ln Jeunesse (Canadienne; Association f | résolut de hâter la conquéte du Catholique des -Voyageufs de Com-| La; bien | Pays et, d'abord, d'établir un avant- | inesce, Chevaliers de Carillon, Fédé- . poste au coeur même du territoire | ation des Armicales Féminines du Trois-Rivières |" ve remment Ce pose runs | Dune ee monens Paretes des sait à l'oeil observateur, Ii-n'y ent | Gercies d'Etudes des Oañadienriés |pas un instant d'hésitation, Trois-Ri- francaises édération tionale C'est dans le but d'assurer l'avenir | vières, sitüé'& la bouche du St-Mauri- Mn habits A mrereg des Hiancs én Amèrique que le fort|ce, ce fleuve bronze, à la porte 14 ‘Dtnidie. Süciété Seint- des Trois-Rivières fut érigé sur les | des térfitoïres du nord, à quelques Jean-Baptiste Syndicats Catholiques éhtres de Sammel de Champlain du-| pas du lac St-Pjèrre, au centre du |, Nationaux, Union Catholique des

[pr beau système fluvial du monde. | nivateurs.

est Champ aurait voul , Les Iroquois, de plus-en plus bar- | Fée Sn rad roru- C'est, de la part de ces groupe- dis, ravageaient avec un acharnement | Béatiots fréfcaiéée. ere pr Lents cathôliques, uñé façon heureu- |cts incontrôlables l'en avaient. d'a- | #f * Prütique de sr ares he rond | -bosd eimpéehé. 11 réalisérait enfin een on pig la France. Confinés d'abord dans les | : us La rédaction de ces pagès ést natu- réellement intéressante et variée.

Félicitations à hotte confrère pour cetté innovation.

T1 charges donc le sieur Ge Lavio-

les avaient Gepngn nn Baque Po liette d'élever fort aux -Ri-

à peu conquis une avance sur leurs ennemis et, depuis peu, ils infestaient | “ières LA bifque qui portaiy ie fon

les régiofs du lac St-Pierre. Ils des- | %teur, 1éf“gébüites Jéan de Brébeur cenduient dans ces parages par 1,7 Antoine Dautiel aifisi que Jean Ni rivière Sorel qui portait, de ce fait, pr aie ant us treé d'un point stratégique, les Zro- | La ville des Trois-Rivières possède TORONTO A sa ferme d'Yar- le plus ancien registre côanu au Ca- motith, M. Mitekiell Hepburn étudie Rada li-est encore conservé aux ar- | dés mésüres pour abolir le plus tôt éhives de l'Évéché et il a toujours | Possible un du ministère été un objel' de vénération la | de 'istruction publique ‘imposant

ét .d'ané tenue physique irféproéhia-

sur ceux endnient braver lés|part des historiens câtiadiens. aux 'instituteurs ue seconde année|gué, excuse qui, dans, notre provin-|rait que-plus d'un million de non- De Eee 'htte Ce registre, cénnu sous le nom de | d'études pédagogiques. Il étudie aus-|ce, sert souvent de couvert à nos | cathotiques participeront à ia campa- devenait intenablé Ou se éraimpoti-| “Cütalogue des Trépassés”, résume | #i des mesures pour autoriser le plüs | échecs. gne. La campagne durera jusqu'à ce per à Québec abandoriner la cofe- | toute la vie religieuse de :s paroisse | t0t posible les hôtels et le, restau Le but des racgnees est de per] AMé le Cinéma soit assaini.

rie naissante Champlain avait con-| nissante. I} était rédigé par le Père | fänts à vendre la bière et le vin au! mettre à l'esprit de se reposer, mais} - Le comité, qui compose de Mgr fiance en l'avenir du Canada. II coù-| Lejeune La première päge de ce Go- vèrté Le, sogel rémpür prompte-| on de se rouiller par une :fupture archevéque de Cincin- naissaît les réssouices du pays I éuineht sacré à toutes les caractéris-| fent cés deux promesses électorales | complète de déux mois avec toute} fäti, &f de trois évêques, a eu une Pféroÿalt une exploitation rationnelle | tiques d'un passage de l'Evangile. | l'a porté à renettre à samedi sa ve-| vie intéllectuelle. Je démande dond [entrevue avec des industriels du. ci- ses richemees avec, ensûte, Le ré-| Grâce À ce manuscrit, 14 daissance De D PR LL D LEE RO RL ON DE EECRE QUE Re ee opt

faire profitèr letrs cadets d'ex-|

mis à l'oeuvre et ils ont réalisé ce qui, à fans. site considéré comme -une téméraire utopie.

: NS 6 &

La jodtéée débütait par une PTT sed tée par Mgr Jubinville, avec sermôn circonstance ‘du Lu Normandin, O.M.L, et musique religieuse exéeutée par | mn, rale de St-Pierre, sous la direction de M, l'abbé Sénéeal. commencer une iowrnée patriotique pat-tün acte de pre à une vieille traditioh-eanadienne-françæise. Puis l'acte rt solennel et recuéilli posé, on passa à la partie profañe du gramme. Ce fut, immédiatement après la messe, la said À historique.

lle était longue d’un bon mille. Elle n'éfait pas banale:

évidemment, le plañ d'ensemble émaniait d'ane petisée saine et vigoureuse. C'était aussi une parade, bien française, en ceci qu'elle était digne et distinguée jusque dans ses infimes, dé- {ails. Elle symbolisait l'évolution qui s'est, p te, au cos , | des ans, dans divérses activités de la vie manitobaine. L'ar- !: ticlé ancien figurait à profusion et n’est re par nécessité qu'on a eu recours aux chars allégoriques. Ainsi nous ‘avons vu passer la vieille charrue tirée par des boeufs, tändis dueke : ; batteür au fléau et le vanneur étaient montés sur une large x estrade montée elle-même sur un camion invisible paree qu'en- touré de décorations élaborées et de très bon goût. L'usagé de ces articles anciens indique bien le souci, dans l'idée des nisateurs de la parade, d'instruire les spectateuts, d'êve la curiosité dans l'esprit des jeunes et de provoquer, au foyer, dés conversations sur les anciens et leur manière de vivré: c'est de la véritable éducation nationale. dont nous n'avons -ké- las! pas trop. Et puis, dans chaque section, on avait introduit un incident qui, lui donnant la note religieuse ou la nôte nationale, en faisait un symbole de l'évolution de notre vie à nous. Ainsi, dans la section symbolisant l'évolution des moyens de tranisport, on voyait naturellement la charrette à boeufs: mais elle voiturait Mgr Taché, honneur qui lui fat d’ailleurs familier. Toute une ‘section était consacrée à l’histoire Société S{-Jean-Baptiste de St-Pierre. Dans la marre À eulture” il y avait le vieux foyer paysan avec le poêle et,une cuisinière active, et il y avait le char “Vive la Canadien- né”, La même section comtes par la vieille chärrte » 2 fléau et le van; une immense “Combine” la terminait, $ ot : le propriétaire lui-même, un Canadien français. de st e qui la conduisait: ceci pour l'information du eolonel

Les chars allégoriques étaient des magses imposantes, Pas de luxe, mais du goût et du bon. Il ÿ a d’habiles #rtis St-Pierre: on le constatait à la variété, à la sobre profl et au substantiel des décorations qui ornaïient ces chars | rendaient, par ler beauté, dignes de figurer dans des ee plus élaborées et plus riches. \

“Comme c’est beau!” entendait-on dire partout. bi, c'était beau, Une impression profonde de ce spectacle s'est gra- vée dans les esprits et les coeurs, et une foule immensé, qu'on a évaluée à 5,000 personnes, a suivi x patade jusqu'au parc AR d’amusement la fête s'est continuée,

Ps

+ + © eL 4 Une grand'messe, particulièrement PARENT, célébrée un jour de semaine qui n’est pas celui d'üne fête d'obligation, in- dique assez la ferveur dont l'Eglise honore notre fête nationale; en sortant du temple, les âmes, par la reconnaissance, ouvertes à la bonté. Le prédicateur avait fait une pressante exhortation sur les charmes et les avantages, de la vie rurale, il avait dit: “Restez sur la terre, c’est le meilleur moyen d'être heureux.” La parade vint répéter aux yeux les paroles du dicateur qui résonnaient encore dans les oreilles, Par le traste qui s’imposait entre les difficultés de la vie d’autrefoi à et les facilités de la vie d'aujourd'hui, on s’est dit: “Oui, nous sommes heureuŸ et nous. voulons prolofñiger le ‘bonheur que l'on éprouve actuellement afin de bien nous convaincre, et pour toujours, des vérités que nous venons d’entendre et que nous voyons de nos yeux en ce moment.” Et puis, au fil du pe édifiant, d'autres pensées ont surgi et on s'est dit: courage ont avoir les anciens! Nos ancêtres furent. sables de constance et de résignation chrétiennes, Us furent gra Ft comme, suivant le langage du vénérable évèque de T et À Rivières, “la piété patriotique est une vertu et un ge du quatrième commandement de Dieu”, un sentiment de soli- darité fraternelle entre les vivants et da piété ‘filiale pour les morts s'est soudain éveillé dans ces âmes frémissantés 4 grandes impressions de la matinée et c’est toutes

qu'elles voulurent terminer la journée dans une di + de famille,

Monsieur.) Cité da St-Pierre. tard dans:-le-vuirèé. rant une Série de discours, nous demandait la permission faire l'éloge de.ses paroissiens. Elle lui fut accordée avec

depuis h po | De d'horames ps US si | Alertes om et si intell

dit; Henri ACI

us ne CE

+ Ë ire

- Voile}, Aüice, de Saint- Boni- ace; ét Hermine (Mme Rosaire Du-

ie tirage de la rafle des Eclai- ‘reurs canadiens-français de Saint- hiface, aura lieu le 4 juillet 1934 à

1B hi, 15 soir, dans le sous-sol de

Frovencher, . Mes prix seront distribués comme Suit: L ler prix, valeur, 525.00; 2ème

prit. valeur $1000; ème prix, valeur %5.00, et 10! prix valeur de 5100.

"Le püblie est cofdidlement invité à Aéoister ‘au ‘tiragé.

s

Cercle Ouvrier Saint-Joseph o' dif 19 Juin 1954

LS Président présidé cette as- éémblée A laquelle assistaient près de 200 membres et amis. . Cinq” nouveaux meñnbrès Hoclamiés à cette hssembléé. Uné motion de sympathie fut of- te à M. Al Voyer, qui vient d'être 8 par le deuil. éle, secrétaire fait rapport qu'une (Potrée intime fut donnée aux acteurs et actrices qui nous ont rendu service

t l'ânnée dernière, Les dépen-

furent

4

de celle-ci se chiffrent à 512.04. |

M. le Président rappelle le concours ? des jardins et parterres que notre Cercle a organisé pour 3es membres et démande que ceux qui désirent ÿ « ‘‘ participer donnent leurs noms” im- médiatèment au secrétaire, : Après Hipscription de ceux-ci, le secrétaire lit la liste qui se chiffre à 71 pows: et hous sommes fiers de, cons- dater que ce concours sera très inté- gessant.

si E--P. Dumont uous donna son ' rapport, comme délégué au Congrès

À Régional de l'A.C.JC. ' A'notre assemblée de mai, un co- pité aväit été délégué pour entre- t Noir la “Canadian Publistiers Lt& au | sujet de deux Canadiens qui ont per-

| SÉCR | Ing emploi à cette Compagnie |"

Ù ue celle-ci se déclara ‘Open Li mer Le rapport de ce comité, qui aVait été remis à l'exécutif fut lu par secrétaire, Ce rapport, après lon-

" &x, discussion, fut adopté tel que lu. H. Lévêque, en charge du

Rir de chant à notre messe du ler Miminnche du mois, fait appel & tous

Cd ceux de nos membres qui ont de, la ( voix pour venir l'aider et grossir le bre de chantres L'exécutif et

re aumônier secondent Ix demande

M Leévéque.

Û

: Une médecine inoffensive et sûre

« . l'enfant, troublé par les vers:

other Graves Worm Extermins | tor”.

TAXE EAGLE

Tous les vo, assurés Au de T et 5 passagers léphone 202049

V'Unité Sanitaire de: St-Boniface. Cette causerie fut des plus intéres- santes pour tous, et nous espérons

| que les bons "conseils qu'il a bien vort-

lu nous dmner seront mis à profit. Le Dr N.-A. Laurendeau, qui nous

«|'avait, dans.le cours de l'année der-

nière, donné une conférence sur ce sujet, : remercia chaleureusement le | Dr Roy au nom de tous. ; Le secrétaire annonce les gagnants des prix de nptre concours de dames pour le mois dernier. La. coupe J.-A: Desjardins fut. gagnée, par M. Le Gauvreau et la médaillé du Dr N.- À. Laurendeau par M. E. Côté.

MM. F, Jodoin et Samson parurent au programme récréatif’ :

MM. Dom. Monchiamp et J. Ré-

FFits

lier en général? qe Les Tertiaires séculiers, est-il ati- pulé dans le Droit Canon, sont ceux qui dans le siècle, sous l'autorité d'un Ordre, selon son esprit, s'effor- cent e tendre à la chré- tienne, d'une manière à la

l'Servites, : Les stats “1506; -—des: Trinitai-

millard furent les heureux gagnants |res, 1751; --des Prémontrés, 1751; des' prix de notre rafle mensuelle. | des Oblats de S. Benoît, 1871.

Sept membres absents perdirent leur |.

‘chance ce mois-ci. Le SECRETAIRE. ;

EE EURE Le programme de la fête na-

t'onale française

Le ‘comité d'organisation de la fé-

te nationale françaisé annonce le programme bguivant: Je samedi 14 juillet, à 7 h. du soir, banguet à l’ho- tel Marlborough; le dimanche 15, à 10 b. du matin, .grand'messe À la chapelle du Collège; le ,80ir, vers 7 K. dan ile du céliège, soirée récréative et tombola.

Te ei

PETITES N NOTES

Mie Mérie A. Bouchard, 254, rue Notre-Dame, receyait: à un ‘‘shower” de tasses et de sougoupes mercredi dernier, en l'honneur de Mlle Emy Roy. Les cadeaux furent présentés ‘Bar LE gentille petite Yvette Desau- tels. |

Mme J. B. Vinette, de Montréal, passe quelques jours en visite chez Mme A. Bélanger, rue Desmeurons.

? L2 L1 e

Mme “A. Bélanger recevait le 19 juin en l'honneur de Mme J. B. Vi- nette, de. Montréal.. Les invitées é- taient Mmes Vinette, J.-B.. Poitras, Arthur Cusson, Joseph Gauthier, A. Mousseau, J. Sicotte, H. Savaria et A. Bélanger." É

M. et Mme Charland Prud'homme sont partis en automobile pour un voyage de trois semaines à Buffalo, Montréal et Québec.

CRE | : Mme Henri Lacerte et sa fillette Ghislaine partiront vendredi pour

Montréal, par la voie des Grands Lacs, ils visiteront M. et Mme Antonio Labelle.

..

M. Marcel Gingras est parti pour un voyage à Toronto. ÿ LA 2 Mme Adniphe Séguin et sa fille, Mile Germa.ne, de Montréal, sont en visite chez le Dr et Mme Albert Sé- guin, Norwood. ""

AE et Mme T. Bertrand, de Mont-

réal, ofl' passé. quelques jours chez M. et Mme À. G. Pétrin, rte Eugénie.

Yharmack Le

Frefondair

\ IL Origine des T.-O. On ne peut donner ici l'historique des différents Tiers-Orûres, Plusieurs ont été fondés par les instituteurs des Ordres auxquels ils se rattachent; d'autres n'apparaissent dans l'His- toire qu'après avoir subi des trans- formations. Aussi, les dates données ci-dessus n'indiquent pas toujours leur origine première. Pour. citer deux exemples, lés Oblats de Saint- Norbert, ou des Prémontrés, d'abord

peu répandus, “précèdent l'année 1134; tandis que æ du Christ, établie par Be Do pour la

défense des intérêts chrétienis, pe rait déjà dans un documeh de

et modifie ses Règles Abel, sos sous le Généralat de Munion de Zamora cn 1285 (approuvée solennellement en 1405). Mais ces deux institutions si voisines du Tiers-Ordre, n'en a- vaient pas d'abord le caractère; plus tard seulement, elles le prirent, en se vnnstituant en véritables Tiers- Ordres. Leur existence ne détruit donc pas la priorité de l'institut séra- vhique, créé de toute pièce en .1221, avec ses Règles et sa Mérarchie, et approuvée de vive voix, en cette mê- me année, par Honorius IIL.

Brillante célébration de la Saint-Jean-Baptiste * à Saint-Boniface

(Suite de 1a lère page) Après les discours, le feu de la Saint-Jean a pétillé joyeusement, mettant 1, point final aux réjouissan- ces de la soirée

La Procession

La journée de dimanche a été par- ticulièrement remarquable. Depuis longtemps la manifestation de la So- ciété Saint-Jean-Baptiste à l'occasion de la fête nationale n'avait présenté uL coup d'oeil aussi imposant.

A l'heure marquée pour le départ de la procession, rue Saint-Jean-Bap- tiste, les nombreuses sociétés qui de- vaient y prendre part occupaient leur place respective. Une organisa- ‘tion parfaite, qui avait”tout prévu, a rendu tout cet agencement facile. On remarquait surtout les . délégations des Sociétés Saint-Jean-Baptiste des autres paroi , avec leuré bannières et leurs officiers.

Le char allégorique de la Société Saiit-Jean-Baptiste de Saint-Bonifa- ce transportait le petit Saint Jean, personnifié par le petit Louis Martel, escorté de quâtrd pages et de quatre Éclaireurx, ‘pendant que d'autres Nclaireurs suivaient le char & pied.

Le char des Fils Natifs du Canada, original et artistique, consistäit dans un tableau vivant représentant . La Vérendrye et un missionnaire Jésuite debout, avec deux Indiens couchés. On y lisait les inscriptions suivantes: Jacques | Cartier, 195%4; Trois-FRivié-

\rès, 1654; L'Ouest Canadien, 1784;

Société Saint-Jean-Baptiste, 1834;

A EE M anne cd

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“Dodson Bou Campann

à

ments de toutes sortes; il a bu jus- qu'à la lie le calice du rifice, Quels reproches pour les re que noùs reproche notre conscience! leçon à tirer de cette fête patronale, c'est une ferme résolution à rester || unis plus que jamais dans l'amour de Dieu et la fidélité à nos traditions religieuses et nationales, gages de succès dans la lutte contre les enne- mis de nos âmes. .… Après la cérémonie à la cathédrale, la procession s'est reformée jusqu'a la cour d'honneur de l'archevêché, les dignitaires des différentes s0- ciétés ont présenté leurs hommages à S. E. Mgr Béliveau.

Le pique-nique s'est continué avec entrain dans l'après-midi.

———— A ————

Le déficit du Manitoba ré-

*, duit à 536,611

L'hon. E. A. McPherson, trésorier provincial, a annoncé samedi que le déficit de la province pour l'année financière terminée le 50 avril était de 536,611. :

Cette décläration a causé une sur: prise même dans les cercles gouver- nemestaux. Il y a sept mois, on avait parlé d'un million et au mois de mars, de $100,000. Le déficit de l'année pré- cédente était de #1,944,564. On a réussi à économiser plus d'un mullion sur les crédits qui avaient été votés et les revenus ont augmenté dans les trois derniers mois. La a encaissé près de $80,000 de plus qu'il n'était prévu en paiement d'in-

tions nationales à fêter avec un éclat spécial la fête nationale des Cana- diens français. Il a remercié les pa- roisses de l'extérieur pour la géné- rosité qu'elles ont montrée en répon- dant à cette.invitation. Restons tou- jours unis de la sorte, a-t-il dit, nous multiplierons nos forces et serons en mesure de nous défendre d'une 4na- nière plus efficace. Le sermon ;

Le sermon de circonstance a été donné par le R. P. Desautels, O MI, qui a démontré avec une éloquence persuasive que l'existence du peuple canädien-français dépend de sa fidéli- à garder sa foi religieuse. L'Eglise

Nationale Française; le Cercle Ou-

ér; l'O.J2C. et Y'AC.J.C.; la Socié- belge; char allégorique des Fils Natifs; les Fils Natifs; le Voyageur; les paroisses de Letellier, St-Jean- Baptiste, St-Norbert, St-Pierre, Ste- Agathe, Lorette, Transcona, La Salle.

Toutes ces bannières ei ces lon- gues files d'hommes marchant quatre par quatre constituaient un spectacle impressionnant. Lorsque la tête du cortège arrivait à la cathédrale, 1a fin ‘dépassait à peine l'hôtel de ville.

Dans la cour d'honneur de l'arche- vêché, Son Excellence Mgr Béliveau, se tenait entouré du clergé et de nombreux enfants de choeur. Les of- ficiers de la Société Saint-Jean-Bap- tiste sont allés au-devant de lui et la procession, maintenant. Au complet, s'est dirigée vers la cathédrale.

300 ans le culte de saint Jean-Baptis- te est en honneur au Canada. Depuis cent ans on le reconnaît comme pa- tron national. En 1909, Pie X l'a ins- | titué protecteur et patron particulier du peuple canadien-français.

Le bonheur, pour les peuples com- me’ pour les individus, consiste dans la puix et la tranquillité dans l'ordre. Or il n'y a pas d'ordre sans religion et celle-ci est de première nécessité. Les Canadiens français, sans doute, sont restés attachés à leurs tradi- tions religieuses et nationales. Leurs ancêtres qui ont colonisé le pays é- taient des hommes de foi qui ont venus, tonune On l'a dit, “planter des croix” au Canada, et sous ce , rapport, les clochers de la rivière S. E. Mgr l'Archevèque était-assis- | Rouge font pendant aux clochers du par KR. P, Bélt 8.1., recteur | Saint-Laurent. Mais ne pourralent- , | ils pas nous faire le reproche mérité d'avoir laissé entamer nos tradi-

| Le petit Saint Jean a pris pince” avec ses pages, sur un trône dressé dans le choeur, face au trône archié- piscopal Dans la nef, au premier rang, M. Armand Pambrun, président de la Société Saint-Jean-Baptiste, et les deux vice-présidents, le major La- voie et M Frénovault Toutes les dans le corps de la cathédrale &vaient été réservées pour les hom- mes et elles étaient remplies—ies dames n'étant admises qu'aux gale- ries.

que n'avait encore formulé Aucun

ce discours.

testé contre le bâillonnement de la

journal berlinois n'a soufflé mot de:

Le dodieite à d'assis

de : L FF | chétiét. TE tête. 1 y Dee Ps ; tes attréctions , habiiuelies: lo dévehfr de à beat : ide chevaux, baseball, jeux diniuient poul shit dicernées aux vainqueurs . du concurrents l'an prochain. Ain 2: de balle camp la coupe =: . Ang Fa qi est aïée l'année dernière ' me ds de ms de Mgr Chotaie, sotis bide Crémierié frais no 1. #.O.B.

“# Tous les compatriotes de la région vont cofdinlement igvitéa à venir pas-

17 TT gna füt éxé “sé . pd pnué À ere ait nes-firiés: |mitte, tandis LE FREE ei àS MS li Gran; F fañts téndit Mo-#: ni Lin bee sies fie Es 20 LE : goiré) Cüré

ie prevenir . : Cihquaäntenaire de ln paroisse y à cinquante ahs que fut publié

le décret d'érection de la paroisse. J CG soit. 4 4 - la famille en déufl IL2 peinés de perdre ce guide au! Henri Bouchaätd athsi qué plusieuts En vor sr ou again, s coeur st bon et généreux, qui a tant | néveux et niècés. Nos pâthies à

cette date inaperçue. 11 y eut séance histotique, vendredi soir le 15; same-

| ei ï ] + J e à

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fait pour leur Association durant son tryp court séjour au milieu nous. Nos prières et nos vocux accompa-

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tous les parents, <

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di, pique-nique, sur le terrain de l'e-|lieu fotte fete, chaipétre au proft| ent M. l'abbé Dubuc dans son vo: au S.à. | destinées: M. l'abbé Joubert, de cale et messe solennelle dimanche le] de notre paroisse. _ Vous êtes (ous yage que nous lui. souhaitons des! Tous Ceux qüi 6nt'éu l'avantage 1909; M. Hogue, de 1909 à 1916:

17. ,

cordiäiement invités. fl ÿ aäüra des saFlusieurs, prêtres assistaient. à la

plus heureux, de prendre pdrt;giu%) fêtes jubilaires PM. A Moreau, de 1916 4 1917; M. amuseménts de (outes sôrtes, et le

GUAN de” la St-Jean-Baptiste à St-Pierre} Béliveau, de 1917 à 1920; M. Léon

de vendredi: Mgr le Vicaire | comité en chârgé se prépäré à nous | F + og6 sont revenus enchantés.1ls' ont pu}Roy, de 1920 à 1930, et le curé actuel,

ral, W. Den le R. P. J.]donnet, quelque chose de, trés, ntéres- LAURIER , cofistater le’ savoir-faire et“le dé-|labbé Gustave Couture. | &

rénà, #.J. fétteér du Collège me es ie æ vouefnent : des »paroïissiens de St-E Après la messe, Son Exeellence re- *Boniface;.le-R. P. J. Magnan, O.| , Donc, n'oubliés pas les dates: le SV MEA NES à Pierré ‘qui oft sw célébrer. si” digne-

M1, provincial des Oblats, avec le R. P Beaupré, O.ML; Messieurs les ÇQurés À. Sabourin,. de St-Pierre; 3: "Paillé, de St-Norbert; A. Laurin, de St-Adolphe; L. Rivard, de l'Ile-de- Chênes; les Pères Larose et Parent, USSR. de Ste-Anne: M. l'abbé D. MeDougall, de St-Georges. Samedi, Son Exctlience Mgr. A. . Béliveau, accompagné de M. l'abbé A. Brunet, ainsi que de l'abbé M. Mi- ‘féault, curé de La Salle, voulut bien nous honorer de sa visite. 7 Dimanche, la mésse : fut chantée Par M. 'e Curé de St-Georges, læbbé D. MeDougall, enfant de la paroisse.

30 juin et le ler juillet, sur le ter-

rain Lu 1 de la salle Mi

NoRBERT

première ,rue au sud

: Séance au Convent < Dimanche soir, le 10 juin, notre salle de réception ouvrait ses portes sinon à une nombréüse assistance, vu la pluie, du moins à une assistan- ce d'élitesau nombre de laquelle nous

aviifis le gt 4 üütfé hôtré bôn

:

de

“à bétrae.

binville, P.D:, éufé ln

comptét

M l'abté Débosée, ét hôtié dévoué

Miles Simone Aybip; Albina Bonin, Adeline et Alvine Fradette ét la pe- tite éctié Gämidche ôtit sf hôus dis- traire quelque temps par leur en-

- train et leur habileté, Mme Germaine ‘lAtibin # obtenu gros succès en nou#

chantant des romances d'autrefois. %

Mile Alexing Boisvert. nous est re: venue de l'hôpital de St-Bomiface; ele aussi & passer sous le bis- touri du chirurgien.

le à

: Mari 127 juin, Alfred Robert et

Marie-Louise Doucete oht reçu le sa- crement de mariage à l'autel de No-

merit nôtre fête matiomale en ce cen- tième anniversatre ‘de la: fondation de Société St-Jean-Baptiste, Nos chaleureuses félicitations à nos amtis de St-Pierre’ pour le: grand «succès obtenu. Ê we L, #4

Üné vihgläiné de représéntahts de notre paroisse, prirent part au défilé de la St-Jean Baptisle à Àt-Souitare dimanche dernier; le drapeau du Sa- cré-Coeur portant lé, nom de la pa- toisse Ainsi que les noms de noë dif- féreñtes préanisations les, précédait. Îl'Yaisait bon de rencontrer un grou- pe si nombreux de compatfiotes dont

‘Jde Raffy. Et après les louanges, le

vétit les ornements au trône et, don- na la Bénédiction du. Saint-Sacre- ment, durant Jaquelle la_ Maitrise exécuta le Cor Jesu du Père Roÿ, S. J,, le Panis Angelieus à 3 voix mix“ les de Cascialini et le Tantum Hrg9

Cantate. Domiho à 8 voix mittes de Ÿ. d'Indy. :

A la porte de l'église, Mgr ren- contra les fidèles, dit un bon mot à chacun, les bénissant aimablement.'

Fête 4

Mardi avait lieu la fête champêtre sur le terrain Dauphinais, Quâtre équipes de balle-au-camp se disputè-

rent les prix: Sperling, Brunktid, Da- cotah et Starbuck: Dacotah réempofta

5 AVT .… Île 1er et Brunkikd le 2e. H y eut aussi M Henri Éruyète, de Cranbetry| joute de pale molle et Oak Biufr Portage, Man, était de passage À remporte ja palme. Letellier lundi.» Kr etise Durant la journée, un ancien mis- Miles Fernande et Gabrielle Bru-| jonnair, de Starbuck, le À. F. 3. yète sont en voyage à Montréal, oùlnqe curé de St-Ciaude, qii venait elles visitent leurs grands-parents. | je ja messe en 1898 dans une petite M: Arthur Bonif,.de. Flin Flon, ;

était de 1e chapelle de. billots à Siarbuek, vint | passage chez sa soeur rend visite J: ©. Béis 14 déinainie. dérnièré. ref LP

: le, Euré.. i re a Fe Naissance soft, fly étit'sédnée dtéfiätique |

+tre-Dame..des Victoires. Les parents et amis ont assisté à la cérémonie. Î y eut déjeuner chez le père de la mariée, M, Henri Doucette, puis les nouveaux époux sont allés au Lac Ciair pour quelques jours. Nous leur souhaitons. joieg et bonheur. 4

Mercredi 20 juin, Mgr lArcheve- que de Winnipeg confirmait 52 de nos enf.its. Ale messe, plus de 200 personnes se sont approthées Ia Sainte-Table, Son Excellence féKcita

"M était accampagné par MM. le Curé et le Vicæire comme diacre et sous- ‘diacré, M. le Cuüré donfa le sermon de cirodnstänce, À 4 h. 30 de l'aptès- “thidt avait lie ln bénédiction d'üne Croix-souventt plantée à. l'éndfoit consacré pur les prémiers actes de ‘Wie paroissiale. Après quelques cou- plets \'uñ cantiqué approprié, Mgr W. Jubinville, P.A., V.G., adressa une touchante allocution à lx foule, puts “bémit 14 érofx. Nous étions partictilié-

les coeurs .vibraient tous de ferté

M. le Vicaire, Révérende Mère natignäle en ce gränd. jour. il.

Ste-Entliénhe, Süp. Provs des Srs Gtises, été, Une soirée récréative et Musicale, cémpüñée d'in prégram- tie ärtiétiquément vatié de sayhètes, corédiés, simusique vocale ét iñs- trurténtale, ét gyinndstique, inté- reésé au-delà d'uné héüre et démie hotre très sympathique äuditoire. Mgr fbifivillé, Me Cufé et M. l'ab- Décosse eurent la bierfvétllaniée d'etotager de leurs bonnes paroles

‘rement heureux de voit assister: à : les paroissiens de Notre-Dame des! Marje-Marguerite-Heymonde, . en- usicale dans if salle du village. |* À ; cetts cétérionie un ancien, Mgr À. SDS coute dE id Victoires de ce bel acte de_fot. Que|fant de Paul Sdurefle et d'Âima D Day Candiémeurs fat pre- | Avetss # CW 39 38% #54 * 0% 38% gd Cherrier, PA, Vicairé Générai de condaite [ée biens fait une visite : pastorale! Bouchard, hée le 15 baptisée le 17, senté avéc des. LA Bchols des Bi. QE 7, PES de? # 3. 36% 36%

PP. L Magnan, OML, provincial, ét | d'un prôjetyproposé dés le début de F diocèse parier avec autant de con- ‘Louis Dansereau, oncle et tante de ge du Petit Duc ét le song. Orge 3 CW. is 45% 4% 4475 46 44% Lesnge, supérieur de li Maison St-|l'amhée pour encouteger ceux qui! “etion sur l'utilité de posséder un, l'enfant, ,.miéimé | qu'urié ité _piécette | 4 de, 43% 42%. 424%. 434 CES 43 “oseph d'Otterburne. pendant dix méts äuräient je" Journal, français et catholique!!| Pique-nique, . ,., grté: “Les tiois bonnettes_ver- aÈu pet à à ; à

: inscription suivante, placée au mieux mérité pour le catééhisme et} "Fous, dit-il, vous devez lire la “L4-| Le pique-nique parôissiäl de Letel-| 5 .

pied de la croix, rappelait les prin-}ig bonne conduité. Donc, 1e 19, alerté”: c'est un devoir, presque une|lier Æür4 let le #-fuillét, 4h parc CRE curé Bastien, de St-Eustache,

Ctpaux faits: deux heures, M. le Cüré, éccompa- abligatinn, non seulement pour en-|Comeauit, prés du village. Il y aur& nous honérait sa, tésen ce. + : ia Büé de M. le Viéairé, faisant fève courager cette belle oeuvre, mais en-|un Pivgratum, dc évursés, parties dc] je que M de curé Dogue, d'El, ñ = s'étébtit la péerière faite à ses multiples oceupations se ren-|°°7e Pour vous instruire à tous les balte-molle das l'aprés-midi, dis- [je curé Héllavance, de ‘Tr et

7 dit au Couvent pour présider à ja| Points de vue. On juge une paroisse, | cours et chants dafs la sotrée. le KR P. Paul Dussauit, OI, du m protlamation des notes et courotiner | "Be famille par s0n journal” Nous Säcré-Coeuf de Wiñnipég.

Nos anis des pafoisses voisines

maison ads chaque grade les élèves e-|°spérons vivement que Mgr sera }sont cordialement invités. D de dE. Ar he taient arrivées premières. pr plat ge reg aragasanncnn par apres Aurenme Mércredi je, 20 juib, S. E. Mgr la pééolasé de Lorette. M. Curé nous eut donné ses per-| 16 fetonk Môles à leur promesse. liant, Eutlide Buitéau, Wittrid et Ca-| yelle, PSS. archevêque cosdjuteur k le pété de, diibi ensmentlintes 04 eee Met Pet ue étaient se Dredbé ont été choisis voi | de face, prédiaait is clôture

prône son précieux concours parrain et marraine confirmants.} mie délégués au rés, Céniéral del des fêtes juriiaires l'an prochain, il nous quitta en L: B. P, Ka’mès et les Pères Mau- l'Assoctätion d'Education qui à La grand'messe d'action de grâce ler présidér. à semblable élection DE et Guy de Bretagne, OMI, 6-|lieu à St-Boniface. fut éhahtée pat le étré Œ'if y à 25 l'Académie Ritchot. La dévouée Mme M, l'abbé H. Hogue, d'Eté. Mr Hotde, principale, et ses collabora- Ë assisté au-trône de M. le Cure téuré profitérent de celte occasion Épérétet moitis dede que Câton, de fannystellé, et M. lab- pour faire une chaleureuse récéptiôn | R { + de: - Boulet, .de St-Bôfifface. à à M. Curé et offrir leufs voeux et | W} FOIS si TA TPS le Curé Bellavañce et le À. P.| leurs remépeiements à M. le Vicairé, (h * Fe % À z Desjardins assistaient au éboëur, Furet élüs cominé le “Rolf” ét la ï ail D Lt È tandis que le RP. Dust, OL. rhéine” dañs hos deux écoles, ceux | À | ray entaire : ET YEIE à l'orgue. 5 qui conservérent le plüs haut pour- |}! | .

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À ' + pis funuiéter par ls Pour cu lo Csét du travail. ge''de St-Bomiface, done le sermon Roi: M. Aa Lamoureux. Reine Nous ferons un travail r à des prix, défiant circonstance, après fes paroles de Mlle Antoinette Guay | 1 toute bienvenue de M. le Curé de Starbuck

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tés ffédes, dont les noms suivent, du Maitre dix fondateurs ‘dé cette our toÿdle: : “Nétais étranger et vous Lord, Heñri Tiottier, m'avez rééuéill, en mélévant un

: + - - J'étais prisonnier et _vous ÊrE lÿpe Lord, Brhdo Corniiér, Denis | visitant la Sainte bert Leinfre, Jeañ-Paul Lémire, Mar. , EL votre autel Monchämp. Miles Alice Carrière. ?éntere oméet . m'avez, revêtu, Vets, Yronné Ruél, Berthe ÉLIRE TE ju” dont mon prêtre Yvonne en bédbin por l'exefcice de mon?

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Le croiseur-école ‘'esané d'Arc’' à Montréal

MONTREAL -— Le croiseur-école “Jeanne d'Arc", portant 634 officiers et marins, dont ‘154 enseignes de vaisseau sortis de l'Ecole navale de

Montréal, amarré au quai Laurier. C'est le plus gros navire de guerre français qui ait jamais remonté le Saint-Laurent.

Le “Jeanne d'Arc", sert unique- ment à l'entrainement des jeunes of- ficiers la marine qui doivent pen- dant neuf mois y suivre des cours

grades, Il jauge 6,600 tonneaux bruts t ses turbines ont une puissance 32,500 chevaux-vapeur. 11 est com- mandé par le capitaine valésemnt Yves Donval.

De nombreuses fêtes et réceptions ont eu lieu en l'honneur dés visiteurs

À français.

En partant de Montréal, le croi- seur n-descendu le fleuve pour se reñdre à Saint-Pierre-et-Miquelon et de à Quiberon, France, pour re- venir ensuite À Brest,*les neuf: mois ‘d'entrainement à son bord étant é-

Ë coulés.

2 M

La traduction du livre d'Hitler est, interdite en France

PARIS. Un tribunal de com- merce a donné gain de cause aux éditeurs allemands du livre du chan- celler Hitler, Mein Kampf (Mon combat), qui poursuivaient des édi- teurs français pour avoir publié sans l'autorisation de l'auteur une ‘tra- duction française de ce livre. En vertu du jugement, la vente de cette traduction se trouve interdite.

Les éditeurs français ont dit que |

Mein Kampf étant un exposé de la doctrine, naziste ne constituait pas une oeuvre littéraire et qu'il tom- bait par conséquent dans le domai- ne public. Ils ajoutaient que de plus ce Hvre était d'une importance ca- pitale pour la nation.

Les procureurs des éditeurs able- mands ont simplement invoqué la loi relative à la traduction et # l'adaptation des oeuvres littéraires étrangères

Len éditeurs allemands récla: malent des mages-lñtérêts : À raison de 1,000 Tranes l'exemplai: ré. Mails le tribunal ne leur a ‘ac: cordé qu'un frane l'exermplaire. 1 a- ajouté que toutefois ils au- ralent droit à 101 francs pour tout |'ensmptaire qui sérait vendu désor- mais.

Biest, à passé plusieurs jours A|-+

de pratique avant d'obtenir leurs

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Tandis que nous sommes dans les souches, regardez, fixé à l'écofce, ce gros champignon ligneux, qui, dans lés contes de fées, sért de table à

des lutins assis sur des pâqueret-

tes. . . Déchiquetez-en un; vous y découvrirez toute une armée de pe- tits animaux, couleur de rouille, ra- boteux comme des morceaux de bois pourri (c'est À s'y méprendre), les uhs empanachés de deux grossés cor- nes dures, de vrais diablotiñis qui font les morts quand vous les tou- chez. Ne vous laissez pas tromper, mais embouteillez-les vite. Ah! les

petits sorciers, ils se démèneront bien

une fois pris à étouffer dans votre fioie à poison.

Certains insectes se posent sur le tronc des grands arbres, il nos est facile de les confondre avec 1a couieur de l'écorce. Sur le hêtre, par exemple, se rencontre un genre de gros “Oureulionides” grisâtré, l'Ithy- cère de New-York, Soyez vifs, car au même moment vous êtes pour le saisir, il se laisse choir dans les feuil- les sèches, et lA, esshyez de le trou- ver!

Ne manquez pas d'explorer voi- sinage des clos de bois et des scie- ries: l'endroit est propice.

Les insectes herbicoles et fioricoles

Les insectes qui vivent sur les her- bes. et les fleurs se chassent au filet. ll ne s'agit pas de promener pares- sexsement vôtre sac çà et là, comme si ce n'était pas de votre affaire, mais feuchez énergiquement , plan- tes et buissons. On peut en capturer un grand nombre avec ses doigts, principalement sur les fleurs. Rap- pelons-nous toujours qu'un insecte échappé par terre est à demi-perdu

. donc “slow but sure”, comme di- sent les Anglais. |

Trouvez ün vieux parapluie hors de service. S'il y a moyen de l'ou- vilr, passez-le sous les branches des buissons ou des arbrisseaux que vous frappez avec un bâton: lees insectes qui s'y reposent seront précipités au fond. de votre engin ils deviennent une proie facile.

Les papillons, les libehules, la plu- part des hyménoptères et des diptè-+ res se chassent tous au filet. Voici, bupposons, un brillant papillon: d'un

ler ou de chavirer.

coup rapide vous fes. roles le sac du filet sur le bord. du cercle manière à couper toute sortie à l'insecte. Pincéë le papillon par dehors du. filet, puis allez le chercher par de- dans. Ah! je vous vois. Ne le saisis- sez pas par l'aile” conime cela! Vous allez le rende Mais quoi! malheureux, vous | \l'avez échappé...! Hh! Ha! Ha! je comprends, vous l'a- vez tenu par les pattes!, . , Profitez dé’ l'expériericé; ‘une fois vous saurez mieux vous rendre maître de votre capture. è Les insectes nocturnes La plupar: des insectes que l'où rencontre durant le jour.sous les pierres, dans les souches, “les étangs, efc. . aiment, au "s0tr d'une chau- de journée d'été, à prétidre Ta fraiche | en se promenant dans:-les airs. Com- ment les attraper! Un moyen bien simple, et surtout, pas forçant: on s'allonge et on rêve... .‘Als aupara- vant, il fut tendre un piège: Vous sa- vez pour l'avoir ‘déjà ‘constaté, que la lumière attire les animaux; et sur- tout les insectes, Donc, je décris mon IL-Ce n'est pas compliqué: un eñtonnoir, le plus-large possible, com- miuniquant par le fond à une boite œu:une bouteille au moyen d'un tu- yau d'environ 1 pouce et demi. Au-

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dessus, suspendez une lumière, une lanterne. . . (pas magique. . .), le tout supporté par un trépied. Choi- sissez une soirée chaude, allumez vo- tre fanal aussitôt que l'obscurité des- cend sur la campagne: les insectes s'élancerotit bientôt sur la lumière, et, perdant l'équilibre en: s'y frap- pañt, dégringoleront dans la cave, sans pouvoir s'en échappér.

Désirez-vous recueillir des papil: lons nocturnes?. . . Ave de la mé- lasse, délayée dans un peu d'eau, ba- digeonnez le bout des piquets de clô-

-| ture, ou le tronc des arbres dans un

bois. Seulement il faut surveiller son affaire, et repasser de temps en temps au coùrs de la nuit pour s'em- Parer des gourmands qui, tout à leur ‘festin, se laisseront saisir sans moe tance.

Voilà autant de moyens bien sim ples qu'un amateur d'insectes ne doit pas ignorer pour chasser âvec fruit, et pour que “la péine ne gôte pas le plaisir”.

Allons, nos petits amis les chas- seurs. . . d'insectes, bonne chance, et au revoir.

FR. EUCHARISTE, CSC. (Le Devoir)

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Le deñtiste—Nervosité excessive. C'est connu. Je vais y aller,

Le rflient (après avoir écouté le discours persuasif du dentiste.)— Excusez-moi. Il y & erreur. Je ne viens pas ici bour me faire arracher une dent, mais pour lire le-passion® nant feuilleton policier qui parait, 1e mercredi, . dans ce périodique que vous recevez...

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